29.08.2016 Financial Time, par Laura Cappelle [PDF]
At the Théâtre Essaïon, a young compagny, Mipana, walked the line between pathos and whimsy with real skill
28.08.2016 toutelaculture.com, par David Rofé-Sarfati
La mise en scène de Joseph Olivennes, est inventive et palpitante. Rafaële Minnaert est une magnifique et attachante grand-mère. Aloysia Delahaut incarne la mort avec un engagement à saluer. Pamina de Hauteclocque pousse avec talent sa proposition de nous emmener sur ce chemin incertain, un aller retour vers Pacamambo. La pièce est un bonheur à voir en famille tant elle pose ce qui pour les enfants fait lien avec leurs parents, en ce que ces derniers sont à la fois leur origine et leur destin.
27.08.2016 Lagrandeparade.fr, par Philippe Delhumeau
une excellente mise en scène
Pacamambo ! Pacamambo ! Le public était debout pour saluer cette belle réalisation collective.
24.08.2016 L’Orient du jour, par Maya Khadra [PDF]
Entre lumière chaude et froide, la scène passe tantôt pour un espace où la mort pèse lourd et tantôt pour un lieu d’où jaillit la vie.
20.08.2016 lemonde.fr, par Evelyne Trân [PDF]
A travers le regard de Julie interprétée avec passion par Pamina de HAUTECLOCQUE, les spectateurs peuvent sonder leur propre imaginaire et se laisser aller à rêver de … Pacamambo. (…) le chien une créature interprétée avec une succulente drôlerie par Jock MAITLAND. Joseph OLIVENNES, le metteur en scène, dirige les comédiens: Rafaële MINNAERT est une adorable grand-mère, Vianney LEDIEU, un affable psychiatre et Aloysia DELAHAUT joue le personnage de la mort avec une belle extravagance.
Un spectacle à voir en famille, la vérité ne sort-elle pas de la bouche des enfants dont Wajdi MOUAWAD s’est inspiré pour composer sa pièce. “
20.08.2016 théatres.com, par Laurent Schteiner [PDF]
Les comédiens y expriment avec une extrême justesse toute la poésie qui émane de ce texte.
Saluons les jeux de Pamina de Hauteclocque tout en finesse et celui d’Aloysia Delahaut haut en couleurs dans cette jolie mise en scène.
19.08.2016 regarts.org par Frédéric Manzini [PDF]
Émouvant spectacle et touchante histoire que cette pièce en forme de conte qui aborde la question de la mort à hauteur d’une petite fille confrontée au décès de sa grand-mère adorée, Marie-Marie.
Ce thème difficile est ici traité avec onirisme par l’écriture de Wajdi Mouawad. (…) Avec une vraie légèreté et un sens de l’humour, aussi, grâce au personnage du chien-confident « le Gros », intermédiaire entre le monde des vivants et celui des morts, interprété par Jock Maitland.
17.08.2016 Télérama, Françoise Sabatier-Morel
Cinq comédiens interprètent avec sincérité ce classique du répertoire théâtral jeune public.
23.09.2016 ELLE par A.N. [PDF]
Entre rires et émotion, un spectacle profond qui célèbre la vie
31.08.2016 Charlie Hebo par Gil Chauveau [PDF]
Une fable “tout public” pour comprendre la nécessité du souvenir, mais aussi celle de l’empathie. Une proposition intelligente pour avancer dans une réalité qui se révèle parfois douloureuse.
25.08.2016 theatrorama par Cathia Engelbach [PDF]
Sur la scène de Joseph Olivennes et de la compagnie Mipana, dont il s’agit du premier projet théâtral, le pays immuable Pacamambo entre en chacun des personnages par volées étincelantes de paillettes et de rythmes incantatoires.
Août 2016 froggy’s delight par Philippe Person [PDF]
Ce sujet délicat du passage hors la vie est traité par Joseph Olivennes sans les artifices que l’on aurait pu imaginer. D’une réalité apaisée par la possibilité d’une étape à « Pacamambo », au pays où survivent les gens dont on se souvient parce qu’on les aimait d’amour et d’amitié.
Septembre 2016 La Nouvelle Vie Ouvrière (NVO) par A.M. [PDF]
“Un beau spectacle entre rire et réflexion, à découvrir”
18.08.2016 Théâtre Passion par Anne Delaleu [PDF]
Une fable qui peut aider à affronter le pire, ou tout au moins à l’apprivoiser.
12.07.2016 La Provence par Lisa Guibaud
On rit, on est ému, on est surpris.